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GRIFFAY Gérard

GRIFFAY Gérard
Albums
Le Paradis Blanc
Dans cette série, j’ai souhaité montrer que certaines réalisations récentes possèdent bien sûr une utilité fonctionnelle, mais que leurs concepteurs ont su y ajouter une esthétique qui les élèvent au niveau de l’œuvre d’art, les rendant ainsi légitimes pour faire partie de l’héritage que nous laisserons aux prochaines générations.
Le parti-pris « high-key » très lumineux de cette série accentue l’image de pureté des lignes et leur sens esthétique. C’est ce regard particulier sur le futur « paradis blanc et lumineux» qui se construit aujourd’hui que je souhaite partager. Cela me fait penser à la chanson de Michel Berger, et c’est donc sur ses paroles et sa musique je vous invite à entrer dans cette petite promenade vers le futur : « Comme dans mes rêves d'enfant, je m'en irai courir dans le paradis blanc, loin des regards de haine et des combats de sang, et recommencer là où le monde a commencé, comme, comme, comme avant … »
Contact : gerard.griffay@laposte.net
Street photography à Metz
Par cette série réalisée dans les rues de Metz, j’ai voulu montrer des tranches de vie intemporelles sous forme de clin d’œil à des photographes de rue très connus du siècle dernier. Le choix du noir et blanc s’impose pour ce genre d’images, où l’action et les attitudes l’emportent sur les couleurs de la scène. Certaine photos proposent une lecture à plusieurs niveaux, avec parfois des détails amusants que l’on découvre en parcourant l’image.
J’espère que les personnes qui découvrirons mes photographies sauront repérer la magie de certains de ces instants de vie, et éprouveront autant de plaisir que moi-même en étant les témoins privilégiés de ces moments uniques. Mon objectif sera complètement atteint si leur regard est changé dans leurs futures promenades en ville.
Les scultures monumentales de Erich Engelbrecht au Château des Fougis
Le Château des Fougis appartient à un artiste allemand ayant débuté son travail à la fin des années ’50. Il a "essaimé" les œuvres monumentales dans le parc de son auguste demeure.
Ce sont des sculptures grandes de 12 mètres pour certaines et résolument modernes, installées dans l’environnement des plus classiques de cette architecture du Val de Besbre remontant en partie au moins au XVe siècle.
Après être passé entre les mains de trois ou quatre différentes familles au cours des temps, le château des Fougis, sis sur le territoire de la commune de Thionne, au bord de la route de Chapeau, appartient aujourd’hui à la famille Engelbrecht.
Erich Engelbrecht est l'auteur entre autres, depuis plus de 50 ans déjà, de sculptures monumentales. Il y en a plus d'une vingtaine installées dans le parc de sa propriété, véritables sentinelles d’un art que l’on est certainement peu habitué à voir dans le Bourbonnais... ou ailleurs.
Ces immenses figures semblables à des totems sont autant de figures anthropomorphiques qui expriment les situations rencontrées par l’être humain dans son for intérieur. « Circonspect », « La Leçon », « Le Sondeur », « L’Auteur», « Le Sortilège » sont autant de noms de ces personnages un peu déconcertants, certainement surprenants et absolument fascinants.